Aujourd'hui, je vous propose une interview de moi, par moi.
Être écrivain, pour vous, c’est plus un métier ou une passion ?
Pour l’instant, c’est une passion puisque je dois travailler à côté pour vivre. Maintenant, est-ce que je veux en faire un métier ? Pourquoi pas. Seulement, est-ce que passer son temps à assouvir sa passion en fait un métier ? Comme disait Confucius : " Choisis un travail que tu aimes et tu n’auras jamais à travailler un seul jour de ta vie ". Je partage tout à fait son avis.
Avez-vous d’autres passions que l’écriture ?
Je suis un geek : j’adore l’informatique, programmer, créer des logiciels.
Je suis aussi télévore - et téléphage - : j’allume la télé dès que je me lève et ne l’éteins que le soir avant d’aller dormir.
Où trouvez-vous l’inspiration ?
Partout.
Pour les histoires, un fait divers, un film peuvent m’inspirer. D’autres fois, c’est juste mon esprit (tordu !).
Pour les personnages, ça peut venir d’une personne que je croise dans la rue, un collègue de travail, quelqu’un vu à la télé.
Pour les lieux, comme la plupart de mes romans se passent aux Etats-Unis, je navigue sur Google Maps, me promène dans une rue, fais des captures d’écran d’endroits qui m’inspirent.
Vos histoires sont-elles tirées de faits réels, d’anecdotes personnelles ?
Mes histoires sont parfois inspirées de faits réels bien que j’essaie de m’en éloigner le plus possible.
J’utilise aussi des anecdotes personnelles, des éléments de ma vie réelle. Par exemple, dans tous mes romans, j’ai l’un de mes chats qui fait partie du casting. Ainsi, dans MAD Crimes, Zorro pointe le bout de son nez au début du roman.
Dans un autre roman, le personnage principal est un enfant de 10 ans qui s’appelle Théo (comme mon neveu, le livre lui étant destiné). Il ne veut pas aller chez son grand-père, préfère aller chez sa grand-mère Nicole (qui ne peut pas le prendre car elle vient de se faire opérer des hanches). Or, ma mère, sa grand-mère, s’appelle Nicole et, à l’époque, venait de se faire opérer… des hanches.
Pour le reste, je l'imagine, le crée moi-même sans me baser sur mon vécu ou le vécu d'autres personnes.
Improvisez-vous au fil de l’histoire ou connaissez-vous la fin avant d’écrire ?
En général, j’ai la fin de l’histoire avant le reste. Puis je la construis dans mon lit (mon lit m’inspire beaucoup). J’y déroule l’histoire, la développe, lui trouve un début, un milieu qui conduisent au final.
Après ça, j’utilise le logiciel en ligne L’Ecritarium dans lequel je crée mes chapitres afin d’avoir une structure complète. Parfois, je la modifie légèrement. Mais j’ai besoin de savoir au minimum où je vais avant de pouvoir écrire.
Où écrivez-vous ? À quel moment de la journée ? Combien de temps consacrez-vous à l’écriture ?
J’écris en général la nuit, entre 2h et 5h, dans mon salon, affalé sur le sofa. Par contre, je relis ce que j’ai écrit en fin d’après-midi. C’est aussi à ce moment-là que je fais les recherches nécessaires à mes romans.
Travaillez-vous sur ordinateur ou sur papier ?
Les deux. Auquel s’ajoute le smartphone.
J’écris sur un ordinateur. Quand je suis en extérieur ou que je n’ai pas mon ordinateur à portée de main, je note mes idées dans mon smartphone. Quant au cahier, il me sert la nuit : parfois je me réveille car j’ai une idée ou suis inspiré. Je note alors dans le cahier, parfois juste un ou deux mots, parfois une page entière.
Êtes-vous aidé de quelqu’un pour écrire vos livres ?
Je construis et écris mes histoires seul. Par contre, ensuite, je les fais lire par plusieurs personnes dont mes parents. Je recueille leurs remarques, leurs idées, leurs critiques. Je les utilise pour améliorer mon texte… que je leur fais relire jusqu’à ce qu’il soit parfait à leurs yeux... et aux miens... et, pour MAD Crimes, à ceux de mon éditrice.
Lisez-vous ? Qu’est-ce que vous lisez ?
Je lis tous les jours pendant 1 à 2 heures, juste avant d’écrire.
Je lis 2 à 4 livres par semaine.
Je lis principalement des thrillers, des policiers (en ce moment, je (re)lis tous les Agatha Christie), du fantastique (je ne manque aucun Stephen King. D’ailleurs, je vous conseille sans réserve Sleeping Beauties qu’il vient de sortir avec son fils Owen) et de l’heroic fantasy (comme Game of Thrones ou la série de 28 romans se déroulant sur Midkemia écrite par Raymond E. Feist).
Ainsi s'achève cette auto-interview. Si vous avez d'autres questions qui vous viennent à l'esprit, n'hésitez pas à les poser en commentaires.
Être écrivain, pour vous, c’est plus un métier ou une passion ?
Pour l’instant, c’est une passion puisque je dois travailler à côté pour vivre. Maintenant, est-ce que je veux en faire un métier ? Pourquoi pas. Seulement, est-ce que passer son temps à assouvir sa passion en fait un métier ? Comme disait Confucius : " Choisis un travail que tu aimes et tu n’auras jamais à travailler un seul jour de ta vie ". Je partage tout à fait son avis.
Avez-vous d’autres passions que l’écriture ?
Je suis un geek : j’adore l’informatique, programmer, créer des logiciels.
Je suis aussi télévore - et téléphage - : j’allume la télé dès que je me lève et ne l’éteins que le soir avant d’aller dormir.
Où trouvez-vous l’inspiration ?
Partout.
Pour les histoires, un fait divers, un film peuvent m’inspirer. D’autres fois, c’est juste mon esprit (tordu !).
Pour les personnages, ça peut venir d’une personne que je croise dans la rue, un collègue de travail, quelqu’un vu à la télé.
Pour les lieux, comme la plupart de mes romans se passent aux Etats-Unis, je navigue sur Google Maps, me promène dans une rue, fais des captures d’écran d’endroits qui m’inspirent.
Vos histoires sont-elles tirées de faits réels, d’anecdotes personnelles ?
Mes histoires sont parfois inspirées de faits réels bien que j’essaie de m’en éloigner le plus possible.
J’utilise aussi des anecdotes personnelles, des éléments de ma vie réelle. Par exemple, dans tous mes romans, j’ai l’un de mes chats qui fait partie du casting. Ainsi, dans MAD Crimes, Zorro pointe le bout de son nez au début du roman.
Dans un autre roman, le personnage principal est un enfant de 10 ans qui s’appelle Théo (comme mon neveu, le livre lui étant destiné). Il ne veut pas aller chez son grand-père, préfère aller chez sa grand-mère Nicole (qui ne peut pas le prendre car elle vient de se faire opérer des hanches). Or, ma mère, sa grand-mère, s’appelle Nicole et, à l’époque, venait de se faire opérer… des hanches.
Pour le reste, je l'imagine, le crée moi-même sans me baser sur mon vécu ou le vécu d'autres personnes.
Improvisez-vous au fil de l’histoire ou connaissez-vous la fin avant d’écrire ?
En général, j’ai la fin de l’histoire avant le reste. Puis je la construis dans mon lit (mon lit m’inspire beaucoup). J’y déroule l’histoire, la développe, lui trouve un début, un milieu qui conduisent au final.
Après ça, j’utilise le logiciel en ligne L’Ecritarium dans lequel je crée mes chapitres afin d’avoir une structure complète. Parfois, je la modifie légèrement. Mais j’ai besoin de savoir au minimum où je vais avant de pouvoir écrire.
Où écrivez-vous ? À quel moment de la journée ? Combien de temps consacrez-vous à l’écriture ?
J’écris en général la nuit, entre 2h et 5h, dans mon salon, affalé sur le sofa. Par contre, je relis ce que j’ai écrit en fin d’après-midi. C’est aussi à ce moment-là que je fais les recherches nécessaires à mes romans.
Travaillez-vous sur ordinateur ou sur papier ?
Les deux. Auquel s’ajoute le smartphone.
J’écris sur un ordinateur. Quand je suis en extérieur ou que je n’ai pas mon ordinateur à portée de main, je note mes idées dans mon smartphone. Quant au cahier, il me sert la nuit : parfois je me réveille car j’ai une idée ou suis inspiré. Je note alors dans le cahier, parfois juste un ou deux mots, parfois une page entière.
Êtes-vous aidé de quelqu’un pour écrire vos livres ?
Je construis et écris mes histoires seul. Par contre, ensuite, je les fais lire par plusieurs personnes dont mes parents. Je recueille leurs remarques, leurs idées, leurs critiques. Je les utilise pour améliorer mon texte… que je leur fais relire jusqu’à ce qu’il soit parfait à leurs yeux... et aux miens... et, pour MAD Crimes, à ceux de mon éditrice.
Lisez-vous ? Qu’est-ce que vous lisez ?
Je lis tous les jours pendant 1 à 2 heures, juste avant d’écrire.
Je lis 2 à 4 livres par semaine.
Je lis principalement des thrillers, des policiers (en ce moment, je (re)lis tous les Agatha Christie), du fantastique (je ne manque aucun Stephen King. D’ailleurs, je vous conseille sans réserve Sleeping Beauties qu’il vient de sortir avec son fils Owen) et de l’heroic fantasy (comme Game of Thrones ou la série de 28 romans se déroulant sur Midkemia écrite par Raymond E. Feist).
Ainsi s'achève cette auto-interview. Si vous avez d'autres questions qui vous viennent à l'esprit, n'hésitez pas à les poser en commentaires.
À bientôt à toutes et à tous.
Crédit photo Entête d'article : Pixabay.
Mon auto-interview
Reviewed by Alexis Deltour
on
15 décembre
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