Aujourd'hui, c'est un événement exceptionnel que je vous propose puisque j'ai pu interviewer Richard Malden, le personnage principal de MAD Crimes.
Alexis Deltour : Bonjour monsieur Malden. Je suis très heureux de pouvoir vous interviewer. Pourquoi avoir accepté ?
Richard Malden : Bonjour monsieur Deltour. Je n'ai en effet pas l'habitude de me laisser interviewer. Mais vu que vous m'avez donné vie, je me voyais mal vous refuser cet honneur.
AD : Pour commencer, pouvez-vous brièvement vous présenter ?
RM : Je m'appelle Richard Malden. J'ai 45 ans. J'ai toujours vécu à Portland. Je suis détective privé depuis presque 15 ans.
AD : Vous n'êtes pas n'importe quel détective privé. Vous vous êtes illustré dans de nombreuses affaires très complexes.
RM : J'ai commencé comme beaucoup de mes confrères par des filatures d'époux volages. Puis il y a eu l'affaire Bergman / Johnson / Morris. Une sorte de remake dans la vie réelle du film Alliance interdite de Tommy Lee Wallace mais avec trois protagonistes. Depuis, je ne m'occupe plus que de meurtres, de kidnappings, de vols, ...
AD : Votre vie a aussi été ponctué par un drame : la perte tragique de votre femme.
RM : En effet. Je me suis marié sur le tard avec Sara Williams. Malheureusement, elle est morte il y a 2 ans maintenant, tuée par un chauffard qu'on n'a jamais retrouvé.
AD : C'est grâce à elle que vous avez connu à Glendale ?
RM : Tout à fait. Sara, était originaire de Glendale. Elle m'a fait découvrir cette petite ville et j'en suis de suite tombé amoureux. J'ai rencontré mes beaux-parents qui y habitent et avec qui s'est créée une relation forte. Aussi, quand j'ai cherché une résidence secondaire où passer mes vacances, j'ai tout de suite pensé à Glendale.
AD : Vous étiez donc en vacances quand toute cette affaire a commencé ?
RM : Exactement. J'étais là pour me reposer. Malheureusement, mon beau-père a été sauvagement assassiné. Quand le shérif Pierce m'a proposé de participer à l'enquête, je n'ai pas pu refuser.
AD : Cette enquête s'est révélée compliquée ?
RM : Je ne vous le fais pas dire. Nous sommes allés de rebondissements en rebondissements. Et puis, il y a eu d'autres meurtres, plus sauvages les uns que les autres. Cela nous a mis la pression, au shérif Pierce et à moi. D'autant plus que Glendale est plutôt une ville tranquille, où la délinquance est quasi-inexistante. Alors, quand les morts se sont accumulés, cela nous a obligé à mettre les bouchées doubles.
AD : Cette enquête fut-elle la plus terrible que vous ayez eue ?
RM : Il va sans dire. D'abord parce que mon beau-père était du nombre des victimes. On a touché à ma famille et je ne pouvais pas laisser faire. Ensuite car les meurtres étaient monstrueux. Une décapitation, ça ne laisse pas insensible. Les autres exécutions aussi.
J'ai au cours de ma carrière eu à affronter des morts violentes. Mais en général, ça se résumait à un mort par affaire. Là, il y en a eu plus.
AD : Comment sort-on de ce genre d'affaire ?
RM : Retourné forcément. Aucun homme normalement constitué ne serait pas chamboulé par ce genre d'enquête. Après, dans mon métier, on apprend à encaisser. On passe à une nouvelle affaire et on tente d'oublier la précédente. Ce n'est pas toujours facile. Parfois, c'est même impossible.
AD : Qu'est-ce que vous pouvez encore nous dire sur cette enquête ?
RM : Certainement pas qui est l'assassin (Rires). Sachez juste que le shérif Pierce et moi avons été de surprise en surprise jusqu'au dénouement final qui nous a laissés incrédule. Je pense que les lecteurs le seront tout autant.
AD : Merci monsieur Malden.
RM : Merci cher créateur.
Alexis Deltour : Bonjour monsieur Malden. Je suis très heureux de pouvoir vous interviewer. Pourquoi avoir accepté ?
Richard Malden : Bonjour monsieur Deltour. Je n'ai en effet pas l'habitude de me laisser interviewer. Mais vu que vous m'avez donné vie, je me voyais mal vous refuser cet honneur.
AD : Pour commencer, pouvez-vous brièvement vous présenter ?
RM : Je m'appelle Richard Malden. J'ai 45 ans. J'ai toujours vécu à Portland. Je suis détective privé depuis presque 15 ans.
AD : Vous n'êtes pas n'importe quel détective privé. Vous vous êtes illustré dans de nombreuses affaires très complexes.
RM : J'ai commencé comme beaucoup de mes confrères par des filatures d'époux volages. Puis il y a eu l'affaire Bergman / Johnson / Morris. Une sorte de remake dans la vie réelle du film Alliance interdite de Tommy Lee Wallace mais avec trois protagonistes. Depuis, je ne m'occupe plus que de meurtres, de kidnappings, de vols, ...
AD : Votre vie a aussi été ponctué par un drame : la perte tragique de votre femme.
RM : En effet. Je me suis marié sur le tard avec Sara Williams. Malheureusement, elle est morte il y a 2 ans maintenant, tuée par un chauffard qu'on n'a jamais retrouvé.
AD : C'est grâce à elle que vous avez connu à Glendale ?
RM : Tout à fait. Sara, était originaire de Glendale. Elle m'a fait découvrir cette petite ville et j'en suis de suite tombé amoureux. J'ai rencontré mes beaux-parents qui y habitent et avec qui s'est créée une relation forte. Aussi, quand j'ai cherché une résidence secondaire où passer mes vacances, j'ai tout de suite pensé à Glendale.
AD : Vous étiez donc en vacances quand toute cette affaire a commencé ?
RM : Exactement. J'étais là pour me reposer. Malheureusement, mon beau-père a été sauvagement assassiné. Quand le shérif Pierce m'a proposé de participer à l'enquête, je n'ai pas pu refuser.
AD : Cette enquête s'est révélée compliquée ?
RM : Je ne vous le fais pas dire. Nous sommes allés de rebondissements en rebondissements. Et puis, il y a eu d'autres meurtres, plus sauvages les uns que les autres. Cela nous a mis la pression, au shérif Pierce et à moi. D'autant plus que Glendale est plutôt une ville tranquille, où la délinquance est quasi-inexistante. Alors, quand les morts se sont accumulés, cela nous a obligé à mettre les bouchées doubles.
AD : Cette enquête fut-elle la plus terrible que vous ayez eue ?
RM : Il va sans dire. D'abord parce que mon beau-père était du nombre des victimes. On a touché à ma famille et je ne pouvais pas laisser faire. Ensuite car les meurtres étaient monstrueux. Une décapitation, ça ne laisse pas insensible. Les autres exécutions aussi.
J'ai au cours de ma carrière eu à affronter des morts violentes. Mais en général, ça se résumait à un mort par affaire. Là, il y en a eu plus.
AD : Comment sort-on de ce genre d'affaire ?
RM : Retourné forcément. Aucun homme normalement constitué ne serait pas chamboulé par ce genre d'enquête. Après, dans mon métier, on apprend à encaisser. On passe à une nouvelle affaire et on tente d'oublier la précédente. Ce n'est pas toujours facile. Parfois, c'est même impossible.
AD : Qu'est-ce que vous pouvez encore nous dire sur cette enquête ?
RM : Certainement pas qui est l'assassin (Rires). Sachez juste que le shérif Pierce et moi avons été de surprise en surprise jusqu'au dénouement final qui nous a laissés incrédule. Je pense que les lecteurs le seront tout autant.
AD : Merci monsieur Malden.
RM : Merci cher créateur.
Voilà pour cette interview exceptionnelle du personnage principal de MAD Crimes.
À bientôt à toutes et à tous.
À bientôt à toutes et à tous.
Crédit photo Entête d'article : Pixabay.
MAD Crimes : Interview exceptionnelle de Richard Malden
Reviewed by Alexis Deltour
on
08 décembre
Rating:
Aucun commentaire: